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Toute personne qui tombe a des ailes
Comme l’annonce d’emblée sa traductrice et préfacière : «On n’en finit jamais de découvrir Ingeborg Bachmann». L’une des raisons est qu’elle a laissé derrière elle, du fait de sa mort accidentelle en 1973 à Rome, des centaines de pages inédites.
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Ingeborg Bachmann, Journal de guerre
Dans ce journal tenu à la fin de la Seconde Guerre mondiale, Ingeborg Bachmann relate non seulement la vie dans sa ville natale meurtrie mais aussi son amour pour un soldat anglais, Jack Hamesh, émigrant juif au service de la force d’occupation.
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Mélusine et autres récits
Que connaît-on de Ludwig Achim von Arnim ? Son nom, sans doute. Sans doute les contes fantastiques, que Théophile Gautier traduisit en français en 1856, et que André Breton préfaça et réédita en 1933, de nouveau sous le titre de Contes bizarres.