La fragmentation, le délitement de l’identité dans le temps, dans l’amour ou dans la douleur est la face sombre de la porosité rayonnante, de l’intrication secrète, énigmatique, qui, en des instants privilégiés, unit l’être au monde et les êtres entre eux.
Ce texte est le roman d'une mort pour redonner vie à un Français ordinaire - et cependant extraordinaire, parce qu'il laisse derrière lui une oeuvre picturale qui, sans être ni connue ni d'avant-garde, témoigne d'une quête existentielle et mystique.
Die Briefe, die die junge, in Wien studierende und noch unbekannte Schriftstellerin an Hans Weigel schrieb, werfen ein neues Licht auf Ingeborg Bachmanns Anspruch auf Wahrheit und ihre Motivation für das Schreiben, auf ihre physische und psychische sehr früh auftretende Erkrankung und last but not least auf ihre Beziehung zu Paul Celan.
Cet essai part en quête de la motivation secrète de l’écriture d’Ingeborg Bachmann et fait la lumière sur un certain nombre de mystères entourant sa vie.
"Figure-toi que lorsque les voyages sont un peu longs, je divertis mes amies avec les histoires que j’ai entendues ou que j’invente ou bien celles aussi de ma vie ou de la vie de ma petite fille..."
Le genre – que l’on peut définir comme un ensemble de pratiques et de représentations qui assignent à chaque sexe des rôles fixes et prétendument immuables mais en fait modulés selon les époques et les cultures – est, au pire, l’une des données socio-historiques qui constitue ce contexte, au mieux « un axe de lecture, au centre, et non à la périphérie de l’histoire » ou de l’histoire littéraire.
Comme l'annonce d'emblée sa traductrice et préfacière : «On n'en finit jamais de découvrir Ingeborg Bachmann». L'une des raisons est qu'elle a laissé derrière elle, du fait de sa mort accidentelle en 1973 à Rome, des centaines de pages inédites.
Pandora ist eine besondere weibliche Gestalt der antiken Überlieferung: Sie ist die erste Frau des Menschengeschlechts. Die Ausbreitung der von Pandora mitgebrachten ‚Übel‘ über die Erde beendet im griechischen Mythos den paradiesischen Urzustand und erzählt somit von der Entstehung der Kultur.
Dans ce journal tenu à la fin de la Seconde Guerre mondiale, Ingeborg Bachmann relate non seulement la vie dans sa ville natale meurtrie mais aussi son amour pour un soldat anglais, Jack Hamesh, émigrant juif au service de la force d’occupation.
Sommaire de la Revue : Jean Métellus, Haïti, suivi d'une note de Claude Mouchard - Michel Deguy, Cent trente numéros... - INGEBORG BACHMANN, Martin Rueff : « Un jour viendra » - François Rétif : « De moi sans fin poussent des mains » - PETITE ANTHOLOGIE : Poèmes d'une écolière (1942-1945); Journal de guerre (1945); Éléments de biographie; L'étrange musique; Musique et poésie; Je ne connais pas de...
